Fails des IA
Après notre sondage sur les IA dans le recrutement, il est indéniable que l’IA ne remplacera pas l’Humain… Ou pas tout de suite. Voici quelques anecdotes amusantes sur l’utilisation de l’IA et des fails dans divers jobs:
- L’IA qui devine les réunions à éviter
Dans une entreprise, un employé a commencé à utiliser un assistant IA pour analyser les mots-clés dans les sujets d’e-mails et de réunions. Au bout de quelques semaines, l’IA a détecté des patrons de mots-clés récurrents pour des réunions « improductives ». L’employé a fini par se servir de cette analyse pour éviter les réunions répétitives ou sans réel intérêt ! Les collègues ont vite remarqué qu’il semblait toujours « occuper » pendant les réunions en question… - La réponse automatique (trop) franche
Une équipe de service client avait paramétré un chatbot pour répondre aux demandes simples. Mais un jour, à la place de la réponse standard « Merci pour votre patience, nous travaillons à résoudre votre problème », l’IA a envoyé « Franchement, c’est juste impossible de tout faire d’un coup, on fait ce qu’on peut ! ». Les clients ont été surpris par ce degré d’honnêteté brutale, et l’équipe a bien ri en se rendant compte qu’une mise à jour de l’algorithme avait complètement « humanisé » le chatbot ! - La police des gribouillages d’un graphiste
Un graphiste utilise l’IA pour affiner ses dessins, mais une fois, il a donné à l’IA des croquis très approximatifs en espérant qu’elle devinerait ses intentions. L’IA a pris chaque ligne comme littéralement exacte, transformant les personnages en monstres aux proportions déformées. Plutôt que de jeter l’essai, le graphiste a montré les résultats à ses collègues, et c’est devenu un running gag de demander l’IA de « deviner l’intention artistique » derrière des gribouillages absurdes. - Le recrutement très créatif d’un recruteur
Un recruteur, voulant accélérer les entretiens, a programmé un chatbot IA pour poser des questions aux candidats. Mais un bug a fait que l’IA posait parfois des questions décalées comme « Si vous étiez un fruit, lequel seriez-vous ? » ou encore « Préférez-vous travailler avec des extraterrestres ou des robots ? ». Les candidats ont joué le jeu, et certains ont même donné des réponses très imaginatives ! Cela a finalement inspiré le recruteur à intégrer des questions originales pour voir comment les candidats géraient l’inattendu. - L’IA qui invente des recettes… étranges
Un cuisinier a utilisé une IA pour l’aider à concevoir des recettes innovantes. Sauf qu’au lieu de suggestions culinaires classiques, l’IA a proposé des mélanges improbables comme du « saumon à la vanille » ou des « brownies au brocoli ». Le chef, trouvant cela hilarant, a lancé une soirée spéciale « Expériences culinaires IA » où les clients ont voté pour la recette la plus étrange. Les retours ont été mitigés, mais la soirée a été un succès pour le buzz !
Ces anecdotes montrent bien que l’IA, bien que puissante, a aussi un côté imprévisible qui rend son utilisation parfois comique !
Les Colettes, 12/11/2024
Entreprise & Cabinet
Analyse du marché du recrutement : regards croisés sur les pratiques des entreprises et la résilience des cabinets
Le marché du recrutement, particulièrement pour les cadres et cadres dirigeants, fait face à des évolutions notables, marquées à la fois par des besoins croissants en compétences spécifiques et une complexification des processus. Dans des secteurs clés tels que l’industrie, le BTP, l’IT, la banque et assurance, le tertiaire, les entreprises naviguent dans un environnement économique en constante mutation.
Les pratiques des entreprises : une autonomie accrue, mais des défis structurels
De plus en plus d’entreprises internalisent leur processus de recrutement. Selon une étude récente de Gartner, environ 72 % des grandes entreprises utilisent aujourd’hui des outils d’intelligence artificielle pour automatiser le tri des CV et accélérer le processus de sélection. Par ailleurs, la mise en place de stratégies de marque employeur sur des plateformes comme LinkedIn a permis à 69 % des entreprises de réduire leur dépendance aux cabinets de recrutement traditionnels. Cependant, malgré cette évolution, 58 % des entreprises déclarent encore rencontrer des difficultés à recruter des profils spécialisés, particulièrement dans des secteurs en tension comme l’IT, l’industrie, où les compétences évoluent rapidement et les profils expérimentés se font rares.
Dans des secteurs comme l’IT ou la banque, la demande en talents spécialisés augmente de manière exponentielle. Par exemple, les offres d’emploi dans le secteur IT ont connu une hausse de 32 % en 2023, alors que les compétences recherchées, telles que la cybersécurité ou la data science, nécessitent une expertise de plus en plus pointue, poussant les entreprises à s’appuyer sur des partenaires externes pour combler leurs besoins.
Pourquoi les cabinets de chasse (cadres et cadres dirigeants) ont encore largement le vent en poupe
Dans ce contexte, les cabinets de recrutement continuent de jouer un rôle crucial. D’après une étude menée par la Cercle Montesquieu, 62 % des dirigeants affirment que les cabinets restent indispensables pour recruter des talents stratégiques. Les cabinets spécialisés, permettent de pallier les limites des solutions internes. Par exemple, sur les marchés du BTP et de l’industrie, le recours aux cabinets de recrutement a connu une hausse de 15 % au cours des deux dernières années, ce qui montre que malgré l’autonomisation des entreprises, les compétences rares nécessitent toujours un accompagnement spécialisé.
De plus, un cabinet de chasse peut accéder à des profils « passifs », c’est-à-dire des candidats qui ne sont pas activement en recherche mais restent ouverts aux opportunités. Environ 70 % des cadres dirigeants appartiennent à cette catégorie, rendant leur recrutement difficile pour une entreprise ne disposant pas d’un réseau structuré comme celui des cabinets.
On remarque donc une tendance grandissante concernant l’externalisation des recrutements de cadres et cadres dirigeants, visant à garantir au maximum la réussite dans les intégrations de profils stratégiques au sein des organisations.
Regard croisé : entre économie en mutation et besoin de flexibilité
Dans une économie caractérisée par une incertitude accrue, l’agilité devient une nécessité pour les entreprises. Le recrutement traditionnel laisse peu de place à la flexibilité, ce qui pousse environ 41 % des entreprises à recourir de plus en plus à des formes d’emploi flexibles comme le freelancing ou l’externalisation de compétences. Ce modèle permet aux entreprises d’adapter rapidement leurs ressources en fonction des cycles économiques.
D’après une étude de l’INSEE, l’augmentation du recours aux travailleurs indépendants (ou freelances) a progressé de 27 % entre 2020 et 2023. Le contracting (recrutement de freelance) offre ainsi aux entreprises une flexibilité et a vu son marché croitre de manière rythmée ces derniers mois voir années pour certains secteur comme l’IT. Cela permet aux entreprises d’accéder et intégrer des expertises très pointues tout en limitant les risques économiques liés à des embauches permanentes dans un contexte incertain. De plus, dans les secteur ayant une forte culture du déploiement de projets, ce mode de recrutement a un sens non négligeable.
Conclusion
Bien que les entreprises renforcent leurs pratiques de recrutement internes, les cabinets conservent une place de choix grâce à leur expertise, leur réseau et leur capacité d’adaptation face aux défis économiques actuels. Pour des secteurs complexes comme l’industrie, l’IT ou les services, leur rôle est non seulement de soutenir, mais de sécuriser l’acquisition de talents stratégiques. D’après les prévisions du marché, le recours aux cabinets spécialisés devrait encore croître de 5 % par an jusqu’en 2026, garantissant ainsi leur place en tant que partenaires de confiance pour les entreprises cherchant à naviguer dans un marché du travail en constante évolution.
Les Colettes, 24/09/2024
Interview Co-founder
Elise et Juliàn ont cofondé Les Colettes en 2018 avec la volonté assumée de placer le statut de freelance ou indépendant au coeur de leur projet commun. Aujourd’hui, ils se livrent sur leur parcours respectif, leur rapport au statut d’indépendant dans le monde du recrutement et leur vision des Colettes.
En préambule, pouvez-vous nous parler de vos parcours respectifs et de votre arrivée dans le monde du recrutement ?
Elise : J’ai rejoint le domaine du recrutement à la fin de l’année 2011, après une première expérience en accompagnement RH et trois années en tant qu’ingénieur de recherche en psychologie cognitive. Mon arrivée dans le recrutement était motivée par une volonté claire de pratiquer ce métier. Il me fallait simplement trouver un cabinet prêt à me former. J’ai intégré une structure à taille humaine, spécialisée dans le recrutement de cadres et cadres dirigeants, qui m’a transmis des compétences axées sur un excellent niveau de qualité. Mes premiers pas dans ce métier, durant presque 6 ans, ont été bercés par l’exigence et la rigueur.
Juliàn : Depuis l’âge de 18 ans, j’ai mené de front une carrière de hockeyeur professionnel et des études en finance. En 2015, tout en continuant à jongler entre ces deux mondes, j’ai intégré un cabinet de chasse de têtes. C’est à ce moment là que j’ai rencontré Elise et découvert ainsi le monde du recrutement. Ensemble, nous avons formé un super binôme qui a marqué cette période. Par la suite, je suis retourné à la finance, mais cette expérience en recrutement venait d’éveiller en moi une véritable passion.
Quand et comment avez-vous envisagé pour la première fois le sujet du statut d’indépendant dans le monde du recrutement ?
E. : Après 13 années cumulées en tant que salarié dans le conseil puis le recrutement, j’ai été débauchée par un grand groupe. J’ai découvert un autre univers, de nouvelles contraintes et cela m’a également ouvert l’esprit sur ce que je voulais. Cette dernière expérience salariée m’a donné l’élan nécessaire pour me lancer à mon compte, et dans l’aventure des Colettes avec Juliàn. A l’époque, il y avait peu d’indépendants, la majorité des consultants étaient salariés. On ne se posait pas ou peu la question. Les mœurs ont bien changé depuis.
J. : J’ai toujours eu une fibre entrepreneuriale. En observant l’évolution du marché du travail et les nouvelles attentes des professionnels, j’ai rapidement perçu le potentiel de ce statut d’indépendant dans le recrutement. C’est en ce sens que nous avons envisagé l’indépendance dans le recrutement en 2018, à la création des Colettes.
Quels sont, pour vous, les points forts de ce statut et ses points faibles ?
E. : Selon moi, le statut d’indépendant présente de nombreux avantages, bien que rien ne soit parfait et que ce statut comporte aussi des inconvénients. Les points forts incluent une grande liberté d’action, de prise de décision et de gestion des missions. Ce statut vous ramène constamment à vos compétences et à ce que vous souhaitez apprendre et valoriser. Vous n’êtes plus frustré par les contraintes inhérentes au salariat, qu’elles soient horaires, organisationnelles ou liées à la délégation. Ce que j’apprécie particulièrement dans l’indépendance, c’est la possibilité de capitaliser sur tout ce que j’ai appris dans le recrutement, la gestion client, et l’art de réussir dans ce métier. Cela me permet de créer quelque chose qui m’appartient pleinement : mes réussites comme mes échecs. La remise en cause est incontournable. Le principal inconvénient d’être indépendant est le cadre qui est appauvri lorsqu’on se lance seul (manque de retours d’expérience, d’outils, moins de possiblités de développement d’aptitudes, etc.).
J. : Les points forts du statut d’indépendant dans le recrutement incluent la flexibilité, l’autonomie, et la possibilité de choisir ses missions et clients. Cependant, il y a aussi des points faibles : l’instabilité des revenus, la solitude, et la nécessité de gérer toutes les facettes de son activité: de la prospection à la comptabilité.
Qu’est-ce qui vous a amené à créer Les Colettes et quelle est la place de l’indépendance dans cette aventure ? Quels sont vos perspectives de développement pour les années à venir ?
E. : Je suis partie de 2 constats : je n’aime pas travailler seule et je ne suis pas particulièrement attirée par le management. Cependant, j’adore transmettre, accompagner et motiver. C’est pourquoi l’animation d’équipe correspond mieux à ma personnalité. Je me suis donc dit : « Pourquoi pas un réseau d’indépendants ? ». En 2018, il n’existait pas de réseau similaire sur le marché. Ne souhaitant pas être seule, j’ai demandé tout naturellement à Juliàn ce qu’il en pensait. Entrepreneur dans l’âme, il m’a dit tout de suite : « J’en suis ! ». Avec Juliàn, nous sommes donc partis de zéro pour créer un besoin et une place sur ce marché naissant. Nous avons tout de suite formé le binôme incontournable de notre réussite. Il est incroyable depuis le début de cette aventure. J’ai une chance folle de l’avoir rencontré.
A noté qu’en 2018, nous ne sommes que 3 réseaux à se lancer : Le Mercato de l’Emploi (dont je salue la success story), Solinki et nous.
Nos perspectives de développement sont pour le moment de rester fidèles à notre ligne de départ : le recrutement de cadres et cadres dirigeants, que nous accompagnons d’une croissance maitrisée, solide et sereine. Nous consacrons beaucoup de temps à développer la qualité de nos prestations, l’accompagnement des indépendants, la transmission de notre savoir-faire et la fidélisation de nos équipes. Notre prochain objectif est d’atteindre un effectif de 50 personnes au sein du réseau, puis d’explorer de nouveaux axes de développement en fonction de nos envies et de nos équipes qu’on adore.
J. : La création du projet Les Colettes est née de notre volonté de proposer un modèle innovant et plus souple dans le recrutement. Avec Elise, nous avons reformé notre binôme de 2015, déterminés à apporter notre expertise et à offrir une alternative aux structures classiques.
L’indépendance occupe une place centrale dans notre modèle. Le réseau nous permet de collaborer avec des consultants indépendants talentueux qui partagent notre vision et notre éthique.
Pour l’avenir, nous envisageons de développer notre réseau de consultants. Nous souhaitons continuer à offrir un accompagnement personnalisé pour aider nos consultants à se développer professionnellement.
Aucun doute que le freelancing est la colonne vertébrale du projet d’Elise et Juliàn, mais les consultants en recrutement indépendants n’ont jamais été aussi bien entourés et soudés que depuis la naissance des Colettes !
Les Colettes, le 27/06/24
Pays-de-la-Loire-&-Auvergne-Rhone-Alpes: recrutement des cadres
Après un épisode sur l’emploi des cadres en Occitanie, qui s’avère être une région de bons élèves, on poursuit notre tour de France avec un grand écart et vous emenons découvrir la tendance recrutement de 2 magifiques régions : Pays de la Loire et Auvergne-Rhone-Alpes…
On refait un petit point sur le Cadre Général et les Chiffres Nationaux…
D’après le dernier rapport de l’APEC, le marché du recrutement des cadres en France reste actif et porteur pour les cabinets. Cependant, nous remarquons des signes de ralentissement en 2024 par rapport à 2023.
En 2023, on avait tous remarqué l’excellente dynamique. « On n’a pas chômé », comme on dit par ici! C’est normal, on a atteint un super record avec 331 000 recrutements de cadres réalisés en France. 2024 sera plus en demi teinte car la croissance des embauches n’atteint que 2% (contre 7% en 2023). Ce ralentissement est largement attribué à la conjoncture actuelle, entre autre due à la hausse des taux d’intérêt décidée par la BCE. Qui dit hausse des taux, dit baisse des capacités d’emprunt pour de nouveaux investissements des entreprises.
Mais pas de panique, on reste dans le vert avec un marché dynamique. On parle toujours de croissance. Allons-y, suivez le guide…
Les secteurs qui continuent de charbonner et qui recrutent le plus : tendance nationale
1- Informatique : en pôle position, ce secteur continue de recruter massivement avec 67 650 recrutements en 2024. Pourquoi cette dynamique toujours d’actutalité? Et bien, on note des besoins croissants en cybersécurité et en technologies émergentes.
2- Cadres commerciaux : en n°2 sur le podium, on retrouve les profils commerciaux avec 57 840 recrutements à prévoir en 2024. N°2, certes, mais à un cheveux du secteur de l’informatique.
3- Études-R&D : Enfin, la médaille de bronze avec 52 210 postes ouverts, le secteur de la R&D suit de près les 2 premiers et concentre une part importante des embauches prévues.
Cependant, des secteurs tels que la distribution, la construction et l’immobilier pourraient voir une diminution des recrutements en raison de la conjoncture économique actuelle.
Focus : Pays de la Loire et Auvergne-Rhone-AlpesRégions en Hausse
Pays de la Loire :
Entre mars 2023 et février 2024, 33 920 offres d’emploi cadre ont été diffusées sur le site apec.fr pour cette région.
Cette région montre une croissance prévisionnelle de 4%, respectivement, avec une forte demande dans le secteur aéronautique, notamment dans les villes de Nantes. Les autres secteurs du territoire restent portés par une belle dynamique de la région. En 2023, en Pays de la Loire, il y a eu une augmentation de +18 % (contre +7 % au niveau national). Pour 2024, on reste en croissance avec une hausse plus douce de +4 % par rapport à 2023. Les ligériens restent au dessus de la moyenne nationale.
Auvergne Rhone Alpes
Entre mars 2023 et février 2024, 77 869 offres d’emploi cadre ont été diffusées sur le site apec.fr
La région est toujours plus dynamique que la moyenne nationale. En 2023, on enregistrait une croissance de +14% des recrutements de cadres par rapport à 2022 (contre 7% sur le territoire français). la région n’échappera cependant pas à la tendance 2024 et devrait connaitre une augmentation plus modérée de 3%. Ce chiffre reste supérieur à la moyenne nationale et positionne la région dans une vraie dynamique d’embauches. Seront recherchés dans la région: les ingés R&D, les commerciaux et informaticiens. Par ailleurs, près de la moitié des recrutements prévus concernerait des cadres de moins de 5 ans d’expérience.
En bref, ces deux régions, bien qu’opposées géographiquement, font office de terres fertiles pour les cadres en recherche de nouveaux challenges professionnels pour 2024. Que vous soyez Bouchon Lyonnais ou plutôt Petit Lu, si vous n’êtes pas de ces coins là, faites vos bagages.
Les Colettes, 11/06/2024 – Source Apec
Occitanie: emploi des cadres
Occitanie et offres d’emploi: focus sur l’évolution depuis les 12 derniers mois.
Concernant les offres d’emploi des cadres depuis les 12 derniers mois, la région Occitanie a vu apparaître 39 211 annonces sur le site apec.fr. Cependant, en février 2024, une baisse notable a été constatée par rapport à l’année précédente, le volume d’offres publiées sur le site étant inférieur de 32 %. Toulouse se démarque comme la zone concentrant près de la moitié des offres d’emploi cadre dans la région. Les métiers du développement informatique se trouvent en tête des profils les plus recherchés, avec les activités d’ingénierie et le conseil en systèmes et logiciels informatiques représentant les principaux secteurs recruteurs, respectivement à hauteur de 18 %.
Occitanie et recrutements: la croissance concernant le nombre de postes à pourvoir est toujours là en 2024 avec de belles prévisions.
Les prévisions de recrutement des cadres pour l’année 2024 en Occitanie annoncent une progression toujours présente mais légèrement moins soutenue par rapport à l’année précédente. En effet, en 2023, la région a enregistré l’embauche de 19 410 cadres, ce qui représente une augmentation significative de 12 % par rapport à 2022, dépassant la moyenne nationale de 7 %. En 2023, l’occitanie a recruté plus de cadres que prévu, pulvérisant ainsi les records de 2022.
Pour l’année 2024, une croissance de +3% est prévue par rapport à 2023. C’est un peu plus modéré que l’année précédente, mais une croissance toujours d’actualité. Les domaines les plus demandés seront ceux des études-R&D et de l’informatique. De plus, plus de la moitié des postes à pourvoir s’adresseront à des cadres ayant moins de 5 ans d’expérience.
Source APEC, Les Colettes, 12/04/2024
Empreinte Carbone
L’Empreinte Carbone des trajets domicile-travail:
les Colettes: un modèle full remote vertueux
Sujet passionnant qu’est l’Empreinte Carbone!! Chez Les Colettes, nous avons calculé l’impact environnemental de notre modèle 100% télétravail, entre autres sur notre empreinte carbone. Les résultats sont impressionnants.
En moyenne, notre équipe de 26 consultants épargne la planète de 40 tonnes de CO² par an, grâce à l’élimination des trajets domicile-travail. Quand on regarde de plus près, ce chiffre est fou!
Pour mieux comprendre l’impact de 40 tonnes de CO₂, voici quelques équivalents couramment utilisés :