p’tite-phrase du jour…
Recruter : boucler, closer, terminer… quel que soit le terme employé… c’est la clé du recrutement…
Certains recrutements peuvent s’annoncer simples et se compliquer avec le temps et d’autres c’est l’inverse. Les recruteurs, quels qu’ils soient (IT, Industrie, Bâtiment, Startups, généralistes) sont tout d’abord confrontés à la pénurie de candidats, qui peut d’emblée représenter une première difficulté. Ensuite, recruter est un métier avant tout humain qui possède son lot d’aléas comme tous les métiers…
Recruter se présente donc très rapidement comme un métier qui nécessite de la ténacité, de la hauteur de vue et de l’endurance. A tous les RH en entreprise ou recruteurs parfois confrontés à des recrutements qui n’en finissent plus, sachez que le meilleur moyen de se libérer d’un recrutement est de recruter. Pour cela, le temps, les bonnes techniques et la connaissance du métier vous amèneront au résultat… N’importe quel recruteur peut se sentir enfermé (au moins une fois dans sa carrière) dans une problématique qui lui semble ne jamais se terminer… Pour éviter de revivre le scénario d’ « Un jour sans fin », il faut donc bien garder à l’esprit qu’il existe toujours un levier pour atteindre son résultat… A chacun de le trouver… Car il est certain (petit clin d’œil à notre ami Oscar) que le meilleur moyen de se libérer d’un recrutement est de recruter ! ;-)
Les Colettes, 15/06/2020
Bureau vs Télétravail
Bureau et télétravail : quelle serait votre organisation idéale ?
En ce lendemain de déconfinement, le télétravail est au cœur de toutes les discussions ! Est-ce que cette expérience a réellement fait évoluer les envies ? Est-ce la fin du travail au bureau pour certaines fonctions ? Afin de répondre au mieux à cette question concernant bureau et télétravail, le mieux est encore de demander les avis !
74% des personnes interrogées aimeraient idéalement pouvoir mixer vie de bureau et télétravail ! La répartition est assez équilibrée entre ceux qui voudraient mixer en privilégiant un peu plus le télétravail ou l’inverse !!
Ce que nous apprennent également ces chiffres, c’est que 20% des personnes interrogées aimeraient travailler exclusivement en télétravail contre 7% exclusivement au bureau.
En deux mots : ce qui ressort de ce sondage est une tendance à l’équilibre vers un mixe entre travail à la maison et bureau. Le bureau reste donc un repère professionnel stimulant, plaisant pour certains, rassurant pour d’autres. Quant au télétravail, il permet de travailler autrement et dans de nouvelles conditions. Le modèle incluant la possibilité de s’organiser au bureau et à la maison reste le compromis dont les gens ont le plus envie. Alors ne jetez pas votre mug « la meilleure collègue » et n’annulez pas vos dates d’afterwork… Le bureau garde la cote… Cependant, il faudra peut-être songer à faire une petite place au Home-Office dans les plannings !
Les Colettes, 20/05/2020
La-petite-minute… inattendue
Beaucoup de merveilleux recrutements se font dans l’inattendu…
Il est vrai que lorsqu’un chasseur laisse l’inattendu mettre son grain de sel dans les recrutements, il s’offre la possibilité de s’exposer aux bonnes surprises. En effet, elles sont souvent inattendues, parfois inespérées, mais elles sont cependant toujours les bienvenues. Il peut, en effet, y avoir dans un process de recrutement de belles rencontres, des coups de cœur (côté candidats et côté entreprises). Le challenge est de ne pas passer à côté…
En effet, même si le projet de l’entreprise (le poste) n’est pas tout à fait celui souhaité par le candidat, que le profil du candidat est un peu en décalage avec les attentes de l’entreprise, l’inattendu peut se produire ! Et lorsque la rencontre est concluante, l’entreprise n’a aucun doute, le ou la candidat(e) non plus. Ils réaffûtent chacun leurs projets et leurs attentes. En deux mots, ils « se veulent ». Bref, comme on dit dans le métier, c’est l’outsider qui remporte la décision… Et cet inattendu arrive plus d’une fois dans une vie de recruteur.
Pour le petit mot de la fin, laissez donc la magie parfois faire le travail ! En effet, de merveilleux recrutements se font dans l’inattendu… Et merci à Jean pour l’inspiration…
Elise, 11/05/2020
la-petite-minute… sans aucun doute
« Quand on est un consultant apprécié, on ne doute de rien, quand on est un consultant qui apprécie, on doute de tout… »
Petite réflexion sur les rapports passionnants des chasseurs et consultants avec leurs candidats, leurs entreprises, leurs confrères et consœurs… Cette règle retranscrit effectivement très bien l’état d’esprit dans lequel on se trouve lorsque l’on recrute. Le doute faisant partie intégrante de la formation, de la progression et du quotidien des consultants et chasseurs,. Celui-cil nous fait avancer, nous oblige à la remise en question et fait souvent la différence (positive) quant au résultat. Au-delà du fait qu’un chasseur se doit d’être incollable sur les métiers (IT, industrie, bâtiment, servies, institutions, etc.), les jargons, les techniques, il n’en est pas moins dans le doute sur son propre métier ! Trop d’assurance n’est pas forcément bon !
En effet, non seulement ce métier est très chronophage, il est surtout fait de surprises et d’imprévus à gérer en permanence. Le doute permet donc aux chasseurs et consultants de parfaire leur approche. Il leur permet aussi d’ajuster leurs actions, d’accompagner avec humilité et de toujours entrevoir de nouvelles alternatives pour garantir une démarche quali’. Il garantit toujours aux consultants de s’adapter au mieux aux demandes des uns et des autres, voire même de les anticiper ! Le doute oblige à l’écoute. Attention c’est un peu comme beaucoup de choses, il faut le consommer avec modération ! Je connais de nombreux chasseurs très talentueux qui n’en sont pas dépourvus ! Coïncidence ? En bref, le doute vient-il de l’amour du métier ?
Quand on apprécie et que l’on aime ce que l’on fait, on doute effectivement de tout ! Cela dit, de nombreux consultants sont appréciés, ne savent souvent pas « oh combien », et doutent tout de même ! Cet article est un petit clin d’œil à un consultant qui me l’a souvent répété.
Elise, 06/05/2020
Devenir un(e) Colette
Changer de voie : [VIDEO] Parce qu’avant de changer de voie ou de trouver ce qui nous convient, il faut en effet être convaincu(e)… Vous avez envie de vous laisser tenter par l’aventure de travailler en toute liberté…
Vidéo à regarder… en boucle…
Millenials Attitude – Why ?
Millenials Attitude :
Pourquoi les jeunes quittent leur 1er job ?
Les millenials représentent les jeunes de la population active âgés entre 20 et 35 ans. Ils bousculent quelques fois les cultures des entreprises, obligent aux remises en question et réinventent assurément le monde dans lequel nous vivons. N’oublions pas que cette génération représentera plus des 2/3 de la population active en 2025 !
Leur rapport au travail, leurs relations avec l’entreprise et leurs collègues, ont fait évoluer ces modes de vie professionnels par rapport à ce qui a toujours existé. Plus enclin à la mobilité professionnelle, les Millenials appelés aussi digital natives sont des utilisateurs naturels des nouvelles technologies. Adeptes d’internet, des réseaux sociaux, ils accèdent avec facilité à de larges contenus et de nombreuses communications. Dans la vie pro, ils bougent aussi plus et n’hésites pas enclencher les changements professionnels assez rapidement ! Fini le temps où l’on fait toute sa carrière dans la même société ! Ils n’hésitent pas ! Les Colettes font, dans cet article, un focus sur les raisons qui poussent les jeunes à quitter leur premier emploi !
53% des jeunes qui quittent leur 1er job, prennent eux-mêmes la décision de partir.
Un meilleur job ! Voilà tout
En 2018, 31% des personnes interrogées évoquent un changement dû au fait qu’ils aient trouvé un meilleur emploi (15% sur un poste similaire et 14% sur un poste différent). Tout allait bien, mais un poste bien meilleur a enclenché la démarche ! Pour l’entreprise, ces décisions sont souvent trop rapides. Elles sont donc confrontées à un nouveau phénomène lié à la mobilité qui les oblige souvent à repenser ses process, ses intégrations et ses suivis de carrières.
Changement d’air !
Seuls 8% des jeunes quittent leur 1er job pour déménager et changer de lieu de vie. Même si les jeunes sont souvent les plus mobiles géographiquement, cette proportion reste faible. Concernant les insatisfaits, il sont 14% a avoir souhaité changer de poste parce que celui qu’ils occupent ne leur convient pas. D’où l’importance pour les entreprises de mettre en place des projets RH visant à développer la gestion des emplois et compétences.
Quand l’entreprise choisit !
Seuls 22% des départs des jeunes de leur 1er poste sont dus à l’entreprise.
En effet, 2/3 des départs voulus par l’entreprise sont dus à une période d’essai non validée ou à un licenciement contre 1/3 liés à l’entreprise qui a fait évoluer en interne les jeunes (ce qui les amènent à quitter leur 1er emploi, tout en restant dans la même société). La proportion des entreprises qui souhaitent se séparer des jeunes embauchés est faible par rapport aux départs volontaires. L’évolution interne reste donc un levier de fidélisation intéressant !
Etre son propre boss : une option que les millenials s’accaparent avec succès !
L’entrepreneuriat n’est plus un cercle très fermé uniquement ouverts aux experts et aux seniors. Les jeunes n’attendent plus d’avoir roulé leur bosse 25 ans avant de se lancer dans l’aventure. Véritables créateurs dans l’âme, flexibles et audacieux, ils ont tous les ingrédients pour réussir… et ça marche. Quant aux compétences, ça viendra… incontestablement. En 2018, 52% des millenials souhaitent créer leur propre entreprise. Le font-ils tous ? Bien sûr que non, mais en revanche 16% des millenials se sont déjà lancés dans l’aventure en créant leur propre compagnie ou en reprenant une entreprise ! (OpinionWay pour la plate-forme pour l’emploi Wizbii)
En bref…
Les millenials sont-ils poussés par une curiosité exacerbée ou une audace insolante ? Sont-ils décomplexés des normes ? Recherchent-ils un équilibre personnel ou ont-ils besoin d’être davantage stimulés par le monde qui les entourent ? Bref, les millenials apportent un renouveau dans la vie des entreprises en écoutant leurs envies et en redessinant leur attentes. Non, c’est certain, ils ne marcheront pas dans les pas de leurs parents. Ils représentent plus que jamais, le monde de demain… Ils ont d’ailleurs souvent une longueur d’avance et deviennent des acteurs majeurs des grands changements sociaux-professionnels. La mobilité professionnelle chez les jeunes est un des nombreux exemples. Cela promet de beaux enjeux pour l’entreprise et de beaux projets RH en perspectives !
Elise, 28/04/2020, source statista